Groupe Scouts et Guides de France de Vincennes (Groupe Jacques Deschamps)
Le rassemblement national compagnons à Paris
du 30 décembre au 1er janvier 2001, Vincennes a accueilli 80 compagnons qui étaient venus à Paris pour le Rassemblement National Compagnons. Les relais d'Ile de France ouvraient leurs portes pour accueillir tous ceux qui venaient de province, et leur proposer des veillées sur les quatre thèmes suivants :
Ellis Island : porte ouverte sur le nouveau monde, ou comment accueillir l'immigré qui a tout quitté pour l'espoir d'un nouveau départ, d'une nouvelle vie.
La case africaine : porte ouverte sur le conte d'une nuit d'hiver, ou, comment accueillir l'étranger dans l'histoire du village et partager la fête avec lui.
L'oasis : la halte du désert, ou comment accueillir le nomade dans un îlot de verdure au milieu des sables.
Le relais des pélerins, ou comment accueillir les marcheurs de Dieu pour la halte de la nuit.
A Vincennes, le lieu d'accueil était l'oasis, et on accueillait des compagnons du Poitou Charente, du pays Basque, de Bourgogne, de Normandie et d'Aquitaine.
Les responsables de Vincennes accueillent les Compagnons rue
Mirabeau
Le coin des ANIREL reçus
à Vincennes
Dans une ambiance aux lumières tamisées,
aux couleurs du désert, avec les tentes comme lieu d'accueil, les
compagnons se sont assis sur des carrés de moquette couleur sable
autour de petites tables joliement décorées (lierre, bougies)
par des femmes touareg avec leur djelaba. Nous leur avons servi le dîner
accompagné d'un succulent thé à la menthe, tout ceci
gracieusement préparé par les amis de nos Anirel, nous leur
disons un grand merci, et pour terminer,, certains compagnons musiciens de
Vincennes ont concocté un petit concert.
Après avoir convaincu nos amis basques que la
nuit blanche, c'était pour le 31, le coucher s'est fait relativement
dans le calme à la crypte Xavier Vogler. Après le petit
déjeuner, nos nomades sont repartis pour la Célébration
Eucharistique à la chapelle Saint Louis de la
Pitié-Salpétrière..
Christophe David, Maximilien Basquin et Antoine
Clapier