Les
Caravelles
Groupe Scouts et Guides de France de Vincennes (Groupe Jacques Deschamps)
Les camps de l'été 1998 (fin)
Les
Caravelles
Du 7 au 28 juillet 1998, 12 caravelles entre 14 et 17 ans, accompagnées de 4 chefs et de 2 intendants ont vécu un camp dans le Cher, à Saint Léger le Petit, près de la Charité sur Loire, entre Bourges et Nevers.
Ce camp a permis à ces caravelles de participer à la vie humaine d’une région en participant à un chantier manuel pour la municipalité et développer ainsi la notion de service acquise cette année.
La Maîtrises :
Marion 19 ans, BAFA,
licence de camp
(BAFA : "Brevet
d'aptitude
Anne 20 ans,
aux fonctions d'animateur" :
Franck 21 ans,
diplôme délivré par le
Ministère
Marie 20 ans, BAFA,
Licence de camp, AFPS
de la Jeunesse et des Sports)
Christelle 20 ans,
BAFA, Assistante sanitaire, AFPS
(AFPS : "Attestation de formation
Mathieu 20 ans
aux premiers secours")
La maîtrise : Marie Rossignol, Anne Istasse, Franck Ratier, Marion Germain, X , X
Nos activités
Camper pendant plusieurs semaines nécessite des installations un tant soit peu élaborées. Aussi, avec du bois acheté dans une scierie de la région et de la ficelle, les Caravelles ont-elles fabriqué une table pour tout le groupe et une table à feu indispensables à nos repas, ainsi qu'un trou à eaux grasses, des tables d'équipes et des feuillées. De plus, un coin prière a été aménagé pour que l'on puisse s'y rendre après chaque veillée.
La découverte de cette partie du Cher s'est faite en plusieurs temps :
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Une
itinérance à pied de 3,jours le long du Cher,
La soirée du 14,juillet à La Charité,
2 jours de
randonnée organisés par les chefs et vécus en
équipages. Les Caravelles devaient alors s'orienter
grâce à
une carte, gérer leur temps et leurs forces. Le soir, elles dormaient
dans une salle prêtée par la Mairie
et trouvée
au préalable par la maîtrise,
La visite
approfondie de la ville de la Charité (Eglise, remparts, chemin de
Halage,.. . ).
La cohésion du groupe est complétée par des activités dans l'enceinte de notre camp telles que des olympiades sportives, un concours de cuisine, ...
Des temps sont réservés à la préparation des veillées que les équipages animent à tour de rôle, à la mise en oeuvre de la pédagogie caravelle comprenant la promesse, l'escale et les contrats de compétence.
Nous avons également eu la chance de pouvoir pratiquer une activité sportive. En effet, nous avons fait deux jours de Canoë sur le Cher. Cette activité a beaucoup plu aux Caravelles par son aspect sportif mais aussi car elles se sentaient plus proche de cette rivière.
Nos actions menées
L’église d'Argenvière.
Tout au long de l'année nous avons insisté sur la notion de service gratuit fait pour les autres. Le camp en a été la meilleure preuve puisque les Caravelles ont passé presque tout leur temps à faire de la peinture dans l'église (baptistère, grilles, plafond, portes...). La paroisse n'avait en effet pas les moyens de faire réaliser ces travaux par des professionnels et personne n'avait vraiment le temps. Le travail des Caravelles a été très apprécié par le Maire et toute la communauté.
Le Château.
Pendant ce camp, nous avons été hébergées dans un grand parc. Il nous a paru normal de rendre ce parc dans l’état où nous l’avions trouvé : des activités de ramassage du bois et de rangement en tas ont permis aux Caravelles de bien se rendre compte qu'un lieu de camp devient « chez-nous » pour trois semaines mais que le reste du temps il appartient à son propriétaire.
La maîtrise caravelle
Les
Pionniers
Camp de 3 semaines à Saint Pons de Thomières, dans l'Hérault. Le camp était bati sur le thème de la spéléologie. Epaulés par les moniteurs de spéléologie de Courniou les Grottes, ils ont donc construit leur chantier sur un nettoyage des grottes et un travail de reconstruction des marches donnant accès aux grottes.Ci dessous, l'article paru dans le Midi Libre du jeudi 23 juillet 1998.
Un pionnier en plein travail
Promesse
de plusieurs pionniers au fond de la grotte
de restauration de
l'entrée de la grotte
Les Compagnons/JEM
2° année
Les Compagnons/JEM de deuxième année avaient choisi cette
année un projet au Cameroun.
Du 1er au 28 août, ils ont donc découvert ce pays et plus
particulièrement la région de Douala et N’Dombo, petit
village dans lequel ils ont travaillé à la réalisation
d’un terrain de football, sport très en vogue là-bas,
surtout auprès des jeunes pour qui ce sport est d’une grande
importance.
Il a fallu aplanir un terrain, boucher les trous avec du sable et de la terre qu’il fallait remonter de marécages voisins et même niveler le tout en faisant appel à du gros matériel de terrassement loué sur place.
Puis, cela a été la découverte de la plantation d’arachides dans des champs récemment récupérés sur la forêt.
Enfin, un travail de reconstruction d’une cuisine chez un habitant de Foumban (dans l’ouest du pays) qui les avait hébergés pendant quelques jours leur a permis de compléter les contacts qu’ils ont eus avec les habitants de ces petits villages.
Le matériel
de terrassement utilisé pour aplanir
La découverte de la plantation d'arachides
le terrain
Le football est le sport par excellence apprécié par tous.
Le journal Vincennes-Information de novembre 1998 a donné un compte-rendu de ce camp :
On trouvera ci-dessous le compte-rendu officiel du camp :
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